Null

la mort, les morts, la décomposition, la fatalité, les morts-vivants, le jugement, la nécromancie

Symbole : Un disque coupé en diagonalement en deux demi-cercles noir et blanc

Dieu supérieur, LN


Null est le dieu draconique de la mort sous tous ses aspects. Il est vénéré par des dragons de tous alignements dans une certaine mesure dans son rôle de Gardien des déchus. Beaucoup de dragons maléfiques, en particulier les dracoliches et les dragons d'ombre, vénèrent Null dans son aspect comme le Cassageur, le Dragon de Mort. Null est également connu dans certains textes obscurs comme Chronepsis ou Faluzure, mais ces alias peuvent simplement être les noms de divinités draconiennes absorbées par Null.
Comme la plupart des divinités draconique de Faerûn, la foi de Null a diminué peu à peu pendant des siècles et, lors de la Chute des dieux, il n'avait qu'une poignée d'adhérents dévoués (certains morts-vivants). Depuis le Temps des Troubles, Null a commencé à faire des incursions au sein du Culte du Dragon. La motivation de Null est en partie due à un désir de résister à sa perte progressive de pouvoir et en partie à contrer les récentes tentatives de Tiamat d'intégrer le Culte du Dragon à sa propre foi. Quelques membres de la cellule de sembienne du culte ont commencé à murmurer que Null est le dragon mort qui règnera sur le monde entier avec les membres du cultecomme ses vassaux, mais on ignore si Null a fait une telle déclaration lui-même.

Histoire et relation

Null a une longue haine envers Tiamat et Bahamut, qui sont considérés comme ses frères et sœurs. Alors que Null et Tiamat étaient autrefois alliés, certains faits anciens les ont poussés à une inimitié éternelle. Null nourrit une rancune profonde contre Hlal à la suite d'une blague élaborée qui lui a fait perdre la face il y a quelques siècles. L'une des divinités avec laquelle Null était sur des termes presque amicaux est Kalzareinad, un demi-dieu de la magie draconique qui aurait aidé Sammaster à la création du premier dracoliche, et la perte de cet allié a conduit les érudits à spéculer qu'il pourrait bientôt chercher D'autres pour le remplacer.


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